« Ils stoppèrent à une dizaine de mètres de
l’excavation
et regardèrent par une baie latérale. Mais il n’y avait pas
grand-chose à voir en dehors de cette forme parfaitement
géométrique. Aucune
marque, aucun défaut n’était visible
dans cette masse d’ébène. C’était comme un
cristal de nuit. […]
Obéissant à quelque
signal, les feux placés à bord de l’excavation
s’allumèrent et la clarté de la
Terre fut repoussée par une lumière
bien plus intense. Dans le vide lunaire,
les faisceaux des projecteurs
étaient invisibles, bien sûr. Seules
apparaissaient les ellipses d’un
blanc aveuglant centrées sur le monolithe. Et,
lorsqu’elles le
touchaient, sa surface noire semblait les absorber. »
2001 : L’Odyssée de l’Espace,
Arthur C. Clarke
Bruit du jour: The Doors / L'America
Je m'identifie au monolithe, je m'identifie au monolithe.
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